Winona

Kirjan Winona (2020) on kirjoittanut Guy Du Cheyron. Kirjan kieli on Ranska, ja sen on kustantanut Guy Du Cheyron. Kirja on laajuudeltaan 298 sivua ja se on pokkari.

Wisconsin 1875 Winona retourne Pony Town. 15 ans apr s s'en tre enfuie. Au saloon, cette nuit-l , elle retrouve tous ses anciens bourreaux. Aucun ne la reconnait. Ce sera une partie de plaisir. .. Pourtant, son p re ador , avant de mourir assassin dans ses bras, avait bien tent de lui faire promettre de renoncer sa vengeance. Son ami bouddhiste, Bao, essaye lui aussi, de l'en dissuader mais Kaya, sa soeur de sang cherokee dont le peuple a subi la cupidit des Colons, ne penche pas pour la compassion. .. Tireuse m rite, va-t-elle suivre ce d sir qui la hante depuis sa tendre enfance o va-t-elle respecter les derni res paroles de son p re qu'elle aimait tant ? Extrait: _ "R fl chissez" ? qu'est-ce que t'as dit, sale Jaune ? face de pamplemousse tu me prends donc pour un demeur ? _ Je ne sais pas encore. .. je n'ai l'honneur de vous conna tre que depuis cinq minutes mais il se peut qu'effectivement je finisse par parvenir cette conclusion malgr le peu d'informations dont je dispose pour l'instant. L'homme, s' tranglant de rage, bauche alors fi vreusement un geste vers son revolver mais Bao l'a devanc avec son katana, et Kerry. .. a aussi d gain son katana . .. encore avant Bao Hans Werner se retrouve avec un sabre japonais effleurant sa jugulaire gauche et un autre sabre japonais - tout- -fait identique - fr lant sa jugulaire droite (il va sans dire que les carotides ne sont pas rassur es non plus). _ Mei ma ch rie que viens-tu faire par ici ? _ Je passais par l . .. j'ai vu de la lumi re _ D s que j'aurai d pos mon sabre, je t'embrasse _ Moi aussi, mon bon Bao, moi aussi Qu'est devenu ton p re ? L'homme, qui transpire grosses gouttes, est contraint d' couter la conversation des deux amis - apr s tout, ils ont bien endur ses propres r clamations - avec juste le petit inconv nient qu'il ne doit absolument pas broncher d'un poil, sous peine de s'ouvrir comme le goret suspendu par le boucher pour le boudin.